MAGAZINE DE LA VILLE DE MASSY | NOVEMBRE 2023


LA FEUILLE DU BOIS| 30.04.2022

ACTUESSONNE| 7.04.2022

Salon départemental
des mini-entreprises

 

Dans le cadre du partenariat avec E.P.A, 9 étudiants en  1ere année de BTS SAM ont créé TOP BAG, un sac rempli au top.

Le 7 avril, ils participaient au Salon départemental des mini-entreprises de l’Essonne et ils ont remporté le prix « Coup de cœur ».

 

 

 

Un article dans la presse locale en parle :

Essonne. Ces entrepreneurs en herbe présentent leurs créations au salon des mini-entreprises.La 6e édition du Salon départemental des mini-entreprises s’est déroulée ce jeudi à la Maison Neuve de Brétigny-sur-Orge (Essonne). 10 projets y étaient présentés par 89 jeunes.Ils sont 89 jeunes, âgés de 13 à 23 ans, et ce jeudi 7 avril 2022, ils ont participé à la sixième édition du Salon départemental des mini-entreprises de l’Essonne. Réunis à la Maison Neuve de Brétigny-sur-Orge, ils y ont présenté leur projet entrepreneurial. […]Un sac en toile pour les étudiantsUn peu plus loin, le stand de Top Bag ne désemplit pas. Créé par des élèves du lycée Parc Vilgènis de Massy, cette mini-entreprise vend des sacs en toile à destination des étudiants. À l’intérieur on y trouve un bloc-notes, une clé USB, du gel hydroalcoolique, des fournitures scolaires mais aussi des préservatifs et un livret de prévention contre les MST.Voir l’article


Intervention de l’AFAJE

AFAJE  | 21.10.2021

Ce mercredi 20 octobre, l’AFAJE est intervenue au lycée Parc de Vilgénis de Massy auprès de 2 classes de Terminale de 2 filières industrielles : Bac Pro Systèmes Numériques, et Bac Pro MIC (microtechniques)

Nous félicitons les élèves et les enseignants pour la préparation de cette intervention en amont qui a permis un véritable échange avec de très nombreuses questions et un véritable engouement de chacun sur les notions de création d’entreprise.

Ce sont donc 45 élèves qui ont pu se projeter dans un avenir entrepreneurial ou encore dans leur poursuite d’études.

Encore merci aux équipes pédagogiques du lycée pour leur investissement, et à ces 2 classes pour leur sympathie !

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PHOSPHORE | 13.01.2021

Essonne : des élèves du lycée Parc-de-Vilgénis se penchent sur la qualité de l’air à Massy

LE PARISIEN | 03.01.2020

Dans le cadre de l’atelier scientifique Vilgénis, des élèves de seconde, première et terminale mettent au point « pollubike », un boîtier qui mesure les particules fines.

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Le Lycée du Parc de Vilgénis de Massy (91)
bouscule les codes du rugby !

Le jeudi 11 avril 2019, les filles de la section sportive rugby du Lycée du Parc de Vilgénis à Massy (91) ont organisé une conférence sur la place des femmes dans le rugby. Cette conférence s’inscrit dans la suite d’une réflexion engagée par la section depuis le début de l’année sur le féminisme dans le sport. Pour nourrir leurs s réflexions, elles ont notamment reçu l’intervention de l’association Du côté des femmes, en mars 2019.En guise d’introduction, les élèves ont rappelé que les femmes constituent encore une minorité dans le rugby même si leur nombre augmente et atteint aujourd’hui les 17 000 licenciées en France. Le sport reste marqué par de nombreuses inégalités. Les femmes sont payées 2 000 euros par mois contre 50 000 euros pour les hommes. La pratique masculine est davantage médiatisée malgré un meilleur palmarès détenu par les équipes féminines ces dernières années.Alors qu’elles sont minoritaires dans les postes de direction, d’arbitre et au sein des équipes de staff, les femmes apportent une vraie plus-value au sport. Les élèves plaident donc en faveur d’une féminisation de la discipline et convoquent à ce titre plusieurs figures emblématiques : Audrey Zitter, première femme à entraîner une équipe masculine et Joy Neville, première femme à arbitrer un match masculin. Dans leur pratique quotidienne du rugby, les filles ont développé et pratiquentune nouvelle manière de jouer, fonder sur l’évitement. Dans leur formation dispensée au Lycée du Parc de Vilgénis, elles encouragent aussi la mise en place d’exercices mixtes : le jeu ceinturé ou touché ou bien le jeu avec rideaux défensifs.Après la conférence, Florian Rossi, professeur d’Education Physique et Sportive (EPS), a invité le public à participer à une table-ronde pour réfléchir à la question du genre dans d’autres disciplines sportives : la danse, la gymnastique ou encore le basket.Aidée par la vidéaste Garance Scharf, les filles déposeront une vidéo explicative illustrée avec des extraits de leurs entrainements, pour concourir dans la catégorie « Des femmes à l’initiative ».

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Un lycée de Massy enterre une capsule temporelle

 

Les élèves du lycée Parc de Vilgénis, à Massy (Essonne), ont enterré un silo en béton de 2 mètres de profondeur rempli d’objets du quotidien. Consigne : « Ne pas ouvrir avant 2067. »

LE MONDE | 23.06.2018

A quoi ressembleront les lycéens en 2067 ? A quoi rêveront-ils dans cinquante ans, de quoi auront-ils peur ? Les élèves du lycée Parc de Vilgénis, à Massy (Essonne), ont eu l’occasion de se poser la question, depuis que l’idée d’enterrer une capsule temporelle dans le parc de l’établissement a germé dans l’esprit d’un professeur de lettres et d’histoire, Baptiste Pujol. Il faudra pourtant se résoudre à ne jamais satisfaire cette curiosité : « C’est un dialogue à sens unique. La réponse se trouve de l’autre côté », conclut l’enseignant au micro.

Une trentaine d’élèves et de professeurs sont rassemblés, vendredi 22 juin, pour cette « célébration mémorielle » un brin insolite. Ils encerclent un silo en béton de 2 mètres de profondeur, enfoui presque entièrement dans le sol. Une plaque vissée sur le couvercle intime l’ordre suivant : « Ne pas ouvrir avant 2067. » La terre battue devrait voir repousser de l’herbe, mais il est prévu que la cachette reste toujours visible. Sage décision, quand on sait que de nombreuses capsules temporelles ne sont jamais retrouvées. Elles peuvent alors alimenter tous les fantasmes, notamment aux Etats-Unis où l’enfouissement de souvenirs est devenu une tradition au tournant du XXe siècle.

Tampon buvard

Quelques minutes plus tard, les élèves y font descendre les objets du quotidien choisis par chaque classe. En 2067, on retrouvera donc dans la pelouse du lycée Vilgénis des journaux de tous bords – par « souci de représentativité ». Mais aussi une ancienne gazette du lycée, exhumée dans le bureau de la proviseure, au titre plutôt inspiré : Mammouth, le journal qui dégraisse. Date de parution : 1998. L’histoire ne dit pas si cette publication a survécu au mandat de Claude Allègre, l’auteur de la célèbre injonction à « dégraisser le mammouth », qui quitta ses fonctions de ministre de l’éducation deux ans plus tard.

Baptiste Pujol brandit ensuite divers symboles du monde actuel : un pot de Nutella vide, « avec l’espoir que l’huile de palme aura disparu de notre alimentation dans cinquante ans », une pièce de 2 euros, « témoin de nos interrogations sur le futur de la monnaie unique ». Mais il y aura aussi les résultats du premier concours de nouvelles jamais organisé à Vilgénis, sur le thème « Imaginez le monde en 2067 ». Les dix candidats ont vu leurs œuvres éditées et imprimées dans un petit livret.

Un élève, décidé à « troller les gens de 2067 » (un verbe qui désigne le fait de harceler quelqu’un sur un réseau social), y a également glissé des vestiges d’une époque déjà révolue, pour brouiller les pistes : un tampon buvard, l’un de ces atroces stylos raccordés à un support par une chaînette, que l’on n’utilise guère plus qu’au guichet de la poste, et une cassette vidéo d’un enregistrement de 1993 du Bébête Show. C’est son professeur d’histoire, Florent Marcuzzi, qui relate cette gentille subversion, sourire aux lèvres. Nous convenons ensemble que l’idéal serait de pouvoir glisser dans la capsule, avant sa fermeture définitive, le lendemain, un exemplaire du Monde paru le même jour. Avec, en page 9, une surprise pour les élèves de 2067.

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